Marie Kock, avec Vieille fille, nous fait une proposition, celle d'un schéma amoureux choisi, d'un modèle de vie qui ouvre les voies de l'émancipation, loin des normes patriarcales.
Un bel entretien dans Telerama, mettait en lumière la possibilité de ne pas obéir à l'injonction sociale, d'avoir envie d'autre chose et de s'y épanouir, complété par deux autres entretiens pour ELLE et Libération.
Elle est à (ré)écouter sur France Inter pour la matinale comme L'invité de 7h50, sur Zoom Zoom Zen, ou encore L'été comme jamais.
Elle était invitée sur Arte pour l'émission 28 minutes, avant de participer au Festival Et Maintenant en partenariat avec France Culture.
Emmanuel Didier, co-auteur de Statactivisme, comment lutter avec des nombres était invité pour l'émission consacrée à la photographe Dorothea Lange et la Grande Dépression aux États-Unis.
Caroline Lachowsky recevait Claudia Senik pour parler de son livre Crises de confiance ?
Frédéric Ciriez présentait le roman graphique qu'il a écrit, Fanon, illustré par Romain Lamy, sur TV5 Monde.
Céline Bessière, co-autrice du livre Le genre du capital, était l'invitée d'Alexandra Bensaid.
Raphaëlle Branche était invitée par Renaud Dély pour parler son livre Papa, qu'as-tu fait en Algérie ?
Alain Schnapp, auteur du livre La conquête du passé, était invité pour parler de son livre.
Les Damnées de la mer écrit par Camille Schmoll est une enquête sur la trace des survivantes. Au fil des récits recueillis, ce livre restitue leurs parcours, de déchirements en errance, de rencontres en opportunités.
France Culture présente le livre ainsi : « Loin des clichés médiatiques et des catégories souvent obtuses du droit, la géographe Camille Schmoll documente l’expérience migratoire de femmes africaines qui ont traversé, ou tenté de traverser, la mer Méditerranée ». Vous pouvez revoir l’intégralité de son intervention dans la vidéo située à droite.
Sur France 24, l’autrice affirme que selon elle, « l’expérience des femmes migrantes est indispensable pour mieux comprendre les migrations ». Rfi décrit ce livre comme « un ouvrage passionnant qui nous plonge dans cet enfer du déracinement ».