Bernard Lahire, auteur de La part rêvée, était invité dans l'émission de Jean Lebrun pour une émission consacrée à Sigmund Freud et l'interprétation des rêves.
Bibia Pavard et Florence Rochefort ont été invitées pour parler de leur livre, coécrit avec Michelle Zancarini-Fournel, Ne nous libérez pas, on s’en charge.
Mickaël Correia, journaliste à Mediapart et auteur de Criminels climatiques était l’un des invités de Karim Rissouli.
Pierre Charbonnier, auteur d'Abondance et Liberté, était l'invité de Laure Adler.
Marie-Monique Robin était l'invitée du journal de midi à l'occasion de la parution de son nouveau livre La fabrique des pandémies.
Dans son nouvel ouvrage Se ressaisir, la sociologue Rose-Marie Lagrave livre une enquête autobiographique : en ressaisissant son propre parcours, elle interroge les rapports de classes sociales, au prisme des études de genre. Loin de l’ego histoire, elle « renoue avec l’ambition des Mémoires tels que les envisageait le XIXème siècle, où l’auteur était capable de relier le Moi, le Monde et l’Histoire en se ressaisissant » écrit Tiphaine Samoyault dans l’Obs.
À travers ce travail de documentation de soi, Clyde Marlo Plumauzille estime dans Libération que « la lecture de cet ouvrage est de celles qui provoquent des déplacements de perspectives sur ce qui fait les cheminements de nos vies et les conditions de possibilité de s’écarter des sentiers tout tracés ». Si le personnel est toujours politique, ce livre invite alors à imaginer de nouvelles formes d’émancipation par la socioanalyse : se ressaisir, c’est acquérir un pouvoir d’agir, commun aux transfuges de classe et aux féministes, permettant de critiquer les hiérarchies sociales et de les transgresser.
L’historien Benjamin Stora, auteur notamment de La gangrène et l’oubli, a remis au Président de la République fin janvier un rapport sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie ». Mais la réconciliation demandera encore du temps tant les répercussions et la violence ont été marquantes.
Dans son ouvrage Papa, qu’as-tu fait en Algérie ? l’historienne Raphaëlle Branche revient sur la transmission ou le silence autour de cette guerre qui ne disait pas son nom au sein des familles de combattants. Elle « lève enfin le voile sur la façon dont le silence s’est installé autour de ce qu’ils ont vécu, un silence personnel, mais aussi familial et sociétal », estime Nathalie Funès dans l’Obs. À partir de témoignages et d’archives inédits, Raphaëlle Branche éclaire ainsi d’un jour nouveau la question de la place de la guerre d’Algérie dans la société.
À lire ou relire les interviews qu’elle a données à la suite du rapport de Benjamin Stora à L’Express et Télérama.
Le caché de La Poste, le nouveau livre de Nicolas Jounin était dans la chronique de Jacques Munier.
La radio suisse recevait Nathan Schlanger, le co-auteur de Apprendre. Archéologie de la transmission des savoirs.