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[PRESSE] Conter ce qui compte

Dans son nouvel ouvrage La subsistance au quotidien, Geneviève Pruvost étudie en profondeur la vie de paysans-boulangers pour saisir les dimensions concrètes de vies sobres et pleines, écologiques, radicalement alternatives à la « modernité » capitaliste.

"Étudiant une famille de boulangers-paysans français installée dans une yourte, la sociologue explore les conditions de possibilité d'un quotidien en rupture avec les flux de consommation mondialisés.(....) une enquête au long cours, impressionnante par sa richesse et son exhaustivité, permet finalement de mesurer l'extraordinaire place des biens matériels dans nos vies, y compris chez des adeptes de la sobriété radicale." - Libération

"Au terme d’une enquête ethnographique originale, dont l’immersion au sein d’une communauté écologique radicale aura remué, selon ses propres mots, son autrice, on prend mieux la mesure de ce que signifie vivre aux marges du capitalisme et de l’État." - Reporterre

Retrouvez aussi l'autrice sur France Culture !

[PRESSE] Les "récits de transfuges de classe"

 

"Un concept est peu à peu entré dans les conversations pour désigner les gens ayant cheminé jusqu'à la sphère bourgeoise depuis le milieu populaire de leur enfance : le transfuge de classe. (...) Dans un essai piquant, vivifiant, étonnant, coécrit avec Karine Abiven, Laélia Véron raconte et analyse ce phénomène." - Le Nouvel Obs

Dans leur nouveau livre Trahir et venger. Paradoxes des récits de transfuges de classe, Laélia Véron et Karine Abiven analysent les pratiques et les usages littéraires, sociologiques, médiatiques et politiques des "récits de transfuges de classe". Comment expliquer ce succès ?

"C'est un livre à la fois très documenté et très clair, qui permet d'éclairer cette question : finalement, à quoi servent ces récits ?" - Frustration Magazine

Retrouvez aussi un entretien avec Laélia Véron dans Le Monde !

 

FRANCE INTER - Le Grand dimanche soir

Chronique de Laélia Véron à propos du livre de Riccardo Ciavolella Pétaouchnok(s).

LIBRAIRIE LA PETITE EGYPTE [Paris]

Lancement du livre d'Alexandre Lauret L'épopée des passeurs

LIBRAIRIE OXYMORE [Port-Vendres]

Rencontre avec Thierry de Lestrade et Sylvie Gilman, autour du livre Le jeûne, une nouvelle voie thérapeutique.

[PRESSE]

Dans son dernier essai, Après le virage c'est chez moi, sorte de confession philosophique en forme d'itinérance intime et littéraire, Marie Kock s'interroge sur ce qui nous fait rester ou partir. Sur ce qui nous fait reconnaître un lieu comme étant le nôtre.

"Que signifie avoir trouvé son chez-soi ? Cela recoupe-t-il le lieu où l'on habite effectivement ? Alors qu'elle s'apprête à faire de nouveau ses cartons, la journaliste et essayiste Marie Kock interroge la possibilité et la pertinence de s'approprier un lieu, de façon affective ou en devenant légalement propriétaire d'une maison, d'un bout de terrain. Qu'est-ce qui se joue derrière le désir de posséder les murs derrière lesquels on dort, les chemins que l'on arpente quotidiennement ? Est-ce par simple besoin de sécurité, de stabilité, ou quelque chose d'autre se joue-t-il, de l'ordre du rapport au temps, voire à la mort ?" Philosophie magazine

"Avec ses deux parrains, Gaston Bachelard (La poétique de l'espace) et Georges Perec (Espèces d'espaces), Marie Kock nous entraine dans sa vie d'enfant, d'étudiante, de journaliste, de voyageuse, et nous fait toucher du doigt ce que veut dire un espace familier, où l'on peut se retrouver "soi-même" dans une certaine continuité." En attendant Nadeau

(Ré)écoutez Marie Kock au micro de Delphine Saltel sur Arte radio !

FESTIVAL LIEUX MOUVANTS [Lanrivain]

Rencontre avec Alessandro Stanziani autour de son livre Les guerres du blé.

FRANCE CULTURE - Entendez-vous l'éco ?

Jean-François Ponsot, auteur de L'économie post-keynésienne était l'invité de l'émission.

RADIO CLASSIQUE - Les voix de l'économie

Avec Emmanuel Combe, co-auteur du livre Le transport aérien.