Benjamin Stora invité de Nacer Kettane pour la bande dessinée Les Algériens en France.
Nouvel épisode de Folie douce de Lauren Bastide avec Mona Chollet pour son livre Résister à la culpabilisation.
Merci de nous adresser votre manuscrit par email uniquement, à cette adresse :
manuscrits@editionsladecouverte.com
Merci de nous envoyer un synopsis qui résume le propos et l'originalité de votre travail, un plan détaillé, ainsi que votre curriculum vitae.
Inutile de nous soumettre des textes de poésie, des romans ou des livres pratiques, car nous n'en publions pas.
Cet envoi restera confidentiel. Votre manuscrit demeure votre propriété intellectuelle. Vous recevrez une réponse de notre comité de lecture deux à trois mois après réception de votre mail.
Nous ne pouvons répondre aux propositions de manuscrits aussi systématiquement que nous le souhaiterions. L’absence de réponse de notre part deux mois après l’envoi signifie que votre manuscrit aura été refusé.
Marie-Laurence Haack, autrice de À la découverte des Étrusques, était au micro de Thierry Lyonnet.
Jérôme Denis, co-auteur du livre Le soin des choses, était l'invité de Mathieu Vidard.
Avec Clémentine Vidal-Naquet, autrice des deux ouvrages Couples dans la Grande Guerre et Noces de cendres, à paraître en septembre.
Riccardo Ciavolella, qui publie le livre Pétaouchnok(s), était l’invité d’Emmanuelle Bastide.
Stéphanie Duncan recevait Jérémie Foa, auteur de Tous ceux qui tombent.
L'anthropologue Riccardo Ciavolella nous sort de la grisaille automnale avec un contre-atlas passionnant. Sous ses airs oniriques, il expose pourtant des lieux bien réels, prenant le bout du monde comme point de départ pour regarder autrement le monde et son histoire. Chaque culture a ses noms pour désigner le “bout du monde” ou le “milieu de nulle part”. Au Québec on dit "l'île Moukmouk", en Italie "Canicatti", aux États-Unis "Kalamazoo", en Grèce "Kolopetinitsa", en Algérie "Bab-el-Oued"...
Pour Télérama, "Entre anthropologie, histoire-géo et littérature, cartes et illustrations en main, le chercheur Riccardo Ciavolella s’est penché sur ces lieux flous, réels ou inventés, qui désignent, dans toutes les langues, et dans tous les imaginaires, ces « trous » perdus au milieu de nulle part, « ces métaphores ou stéréotypes de l’éloignement et de l’insignifiant »."
Le Monde des livres salue "l'indéniable talent" de l'auteur et affirme qu' "Au-delà du plaisir de lecture qu'il offre, ce livre constitue un remarquable travail d'anthropologie comparée des représentations, qui nous éclaire sur les a priori des autres habitants de la planète, et aussi, accessoirement, sur les nôtres."