Archives

Bibia Pavard était invitée autour de son livre Ne nous libérez pas, on s'en charge.

Elsa Gavinet recevait le sociologue Paul Pasquali pour son livre Héritocratie.

Christelle Taraud était invitée pour Féminicides qu'elle a dirigé.

Laure Adler recevait Charles Stépanoff pour son ouvrage L'animal et la mort.

Rémi Brancato revenait avec Michel Offerlé sur son ouvrage Écrire au président co-écrit avec Julien Fretel.

Aurélien Lignereux était invité pour La Folie Napoléon.

Jean-François Bayart, auteur de L'énergie de l'état était invité par Cemil ?anl?.

Vinciane Despret, autrice des Morts à l'oeuvre, était l'invitée de Cécile Coulon. 

La sortie en salle de Retour à Reims (Fragments), adaptation remarquable du récit de Didier Eribon, est l’occasion de se replonger dans l’ensemble de l’œuvre de Jean-Gabriel Périot. Auteur de plusieurs longs-métrages (Lumières d’été, Une jeunesse allemande ou Nos défaites), Jean-Gabriel Périot porte son regard vers celles et ceux qui luttent. Artisan de l’archive, le cinéaste lie fragments de vie et films préexistants, passant de l’intime au collectif, et rend leur dignité aux femmes et aux hommes oubliés de l’histoire.

Ce que peut le cinéma, livre d’entretiens entre Jean-Gabriel Périot et le philosophe Alain Brossat, propose une réflexion inédite sur son travail cinématographique. Il permet de saisir la force critique d’une œuvre qui fait dialoguer les images d’archives, le politique et l’histoire.