Jean-Marie Gallais était « l'invité de la semaine » d'Elisabeth Quin pour présenter l'exposition Folklore et le catalogue éponyme.
Et si l'on révisait nos classiques ? Alors que Max Weber s'est retrouvé au cœur de l'actualité, il peut être bon de se replonger dans son œuvre.
En effet, la semaine dernière, le nouveau ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a cité Max Weber devant la commission des lois à l'Assemblée nationale pour justifier l'emploi de la violence par la police. Mais a-t-il vraiment lu le sociologue allemand ? Dans l'ouvrage Le Savant et le politique auquel G. Darmanin fait référence, il n'est pas question de la police et Max Weber ne dit pas que toute violence exercée par l'État est légitime. C'est ce qu'a notamment expliqué Catherine Colliot-Thelene à France info.
Philosophe et spécialiste du sociologue, elle est l'autrice de La sociologie de Max Weber, un petit ouvrage qui permet de mieux appréhender l'oeuvre riche et variée du sociologue. Ce dernier s'est en effet intéressé à de nombreux objets et thématiques : la domination bien sûr mais aussi la ville ou encore les communautés qu'il analyse de façon novatrice.
Une œuvre à (re)découvrir !
L'émission de Zoé Varier était consacrée à l'historienne Ludivine Bantigny, autrice notamment de La Commune au présent.
L'autrice et journaliste canadienne Sarah Barmak présente son livre Jouir à l'occasion de sa parution en France : un ouvrage d'utilité publique, enthousiasmant et réconfortant, décomplexé et décomplexant. Sur un ton résolument provocateur, Jouir interroge, à travers les âges, notre perception de la sexualité féminine (qui n'a justement rien de très jouissif !) et invite à une réappropriation par les femmes de leur sexualité.
Ce livre a constitué un coup de cœur pour Maïa Mazaurette, autrice, chroniqueuse et blogueuse française, qui en a rédigé la préface.