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Élodie Lemaire était invitée dans l'émission pour parler de son livre L'oeil sécuritaire. Mythes et réalités de la vidéosurveillance.
Diffusion inédite d'un documentaire consacré au tabou des règles, en écho au livre d'Elise Thiébaut, Ceci est mon sang.
Edwy Plenel, dernièrement auteur de La sauvegarde du peuple, était l'invité de Benjamin Sportouch.
Bien que plusieurs fois sollicité, Philippe Frémeaux, que nous connaissions depuis quarante ans, n'était pas un auteur « Repères ». Mais nous nous associons à l'hommage qui lui est justement rendu, en provenance de multiples horizons. Il ne nous revient pas ici de rappeler ses qualités humaines, ou ce qu'il a accompli en faveur de l'économie sociale et solidaire. Il suffit de noter, car c'est rare, que son action ne trahissait pas ce qu'il disait ou écrivait.
Nous pouvons en revanche mettre l'accent sur ce qu'il a réussi, aux côtés de Denis Clerc, avec Alternatives économiques. En effet, à quelques années près, ce magazine est né en même temps que la collection « Repères », au début des années 1980. Les moyens, les auteurs, les statuts des textes étaient différents, mais les fonctions étaient complémentaires.
Charles Stépanoff, auteur de Voyager dans l'invisible. Techniques chamaniques de l'imagination, était l'invité d'Adèle Van Reeth.
Federico Tarragoni était l'invité d'Olivia Gesbert pour son livre L'esprit démocratique du populisme.
Rencontre avec Olivier Le Cour Grandmaison, auteur d'« Ennemis mortels ». Représentations de l'islam et politiques « musulmanes » en France à l'époque coloniale.
Le livre d'Anna Lowenhaupt Tsing, Le champignon de la fin du monde, était évoqué dans cette émission consacrée aux champignons.
Jean-Marie Durand, auteur d'Homo Intellectus. Une enquête (hexagonale) sur une espèce en voie de réinvention, était l'invité de Frédéric Martel.
Nous avons appris avec joie que le prix Paul Ricœur était décerné cette année à Serge Audier pour son livre L'âge productiviste. Hégémonie prométhéenne, brèches et alternatives écologiques. Serge Audier explore dans ce livre les origines philosophiques, idéologiques et politiques de la crise écologique actuelle. Il soulève la question des « possibles » non aboutis ou non réalisés, en matière écologique, et invite à (re)découvrir une nébuleuse oubliée - entre anarchisme, socialisme, républicanisme et communisme - qui a voulu conjuguer liberté et solidarité, et critique du capitalisme et du productivisme.
