Si les personnes transgenres ont gagné en visibilité au cours des dernières années, elles n’échappent pas aux caricatures et aux préjugés. Comment vivent-elles leur transition ? Quel impact cela a-t-il sur leur place dans la société ?
Le livre d’Emmanuel Beaubatie Transfuges de sexe, tout en gardant « une approche du sujet loin de tout voyeurisme » précise Télérama, explore la multiplicité des trajectoires de celles et ceux qui entreprennent de passer les frontières du genre. À l’image des transfuges de classe, qui passent d’une catégorie sociale à une autre, les personnes trans’ sont ici considérées comme des « transfuges de sexe ».
Cette enquête inédite constitue « un observatoire extrêmement puissant » pour analyser les inégalités entre les catégories de sexe estime le sociologue dans un entretien à L’Obs. Si changer de sexe, c’est aussi changer de catégorie sociale, ce livre montre que « le genre est avant tout une catégorie sociale, qui différencie et hiérarchise les hommes et les femmes » (entretien à Libération).
Une journée exceptionnelle est organisée à la librairie L'Atelier à Paris en présence de Philippe Artières, à l'occasion de la parution de son livre Le peuple du Larzac.
Alain Le Diberder, auteur de La nouvelle économie de l'audiovisuel, était l'invité de Frédéric Taddeï.
Vincent Denis, co-auteur de Histoire de l'identification des personnes, était l'invité de Xavier Mauduit.
Elsa Dorlin, autrice de Se défendre, était l'invitée de Xavier Mauduit.
La chronique de Catherine Petillon était consacrée à l'ouvrage Le prix du travail bien fait.
Jean Lebrun consacrait sa chronique au livre de Philippe Artières Le peuple du Larzac.
Marie-Monique Robin, autrice de La fabrique des pandémies, était invitée sur France Bleu Poitou.
Jean Lebrun consacrait sa chronique au livre de Thomas Vescovi L'échec d'une utopie.