Grand Prix du livre de la mode 2019
2018-01-26 - Anne Both - Le Monde des livres
Dans cette enquête, où les témoignages sont anonymes, [Giulia Mensitieri] suit une styliste photo qui organise des défilés dans des palaces à Hong Kong mais peine à payer le loyer du petit appartement parisien qu'elle habite en colocation, dormant dans le salon. Elle décrit des mannequins endettées auprès de leurs agences, peu voire pas payées lors des défilés.
2018-01-26 - AFP
Avec son livre intituléLe Plus Beau Métier du monde, l’anthropologue Giulia Mensitieri s’introduit dans les coulisses peu reluisantes de l’industrie de la mode. Et elle décrit un milieu à la pointe du nouvel esprit du capitalisme, dans lequel l’exploitation prend des formes inédites.
2018-01-29 - Joseph Confavreux - Mediapart
Dans Le Plus Beau Métier du monde, l'anthropologue Giulia Mensitieri (EHESS) donne la parole aux travailleurs créatifs, pour qui le simple fait de participer à la création de produits désirés par le plus grand nombre sur la planète compense tous les sacrifices. La chercheuse dévoile ainsi les aspects peu reluisants d'une industrie qui constitue pourtant « l'image étincelante du capitalisme, combinant prestige, beauté et pouvoir ».
2018-02-10 - Marie Ottavi - Libération
An emblematic sector of contemporary capitalism, fashion, today, is one of its most powerful industries and one of its most efficient dream merchants. In this work the author sets out to understand and deconstruct the symbolic power which surrounds the creative members of the high fashion and ready-to-wear industries.
Based on an in-depth investigation involving designers, models, freelance creators, hairdressers, make-up artists, salespeople, journalists, dressmakers, interns, sales representatives, etc., this book reveals the reality of the work behind the glamorous facade of fashion.
A fascinating analysis of the invisible dynamics of the fashion industry. An important contribution to its deglamorization.
Giulia Mensitieri, has a PhD in social anthropology and ethnology (EHESS – School for Advanced Studies in the Social Sciences). Her research focuses on globalisation, the transformation of work and the mechanism of creating dreams of future objects of desire in contemporary capitalism.